Sa
vocation à travers les siècles, en passant de la période
romaine qui lui a donné son nom -MAXIMIACUS- a toujours été
de servir de carrefour entre la région Lyonnaise et les
marches de l'Est, entre la plaine et la côtière, entre la
Bresse et la Savoie.
Des
instruments primitifs en silex et en os trouvés lors de
fouilles à la nécropole gallo-romaine de Croix tombées,
prés des fermes de La Valbonne, nous indiquent l'existence
d'une occupation par des hommes de 2 000 ans avant Jésus
Christ au 5em après Jésus Christ.
En
1072, existait déjà un château fort, ceint de murailles, de
fossés larges et profonds (encore visibles au nord et au nord
ouest), sur la butte face à la plaine et au
plateau. Il faut
souligner le diamètre impressionnant du donjon qui dépasse
les 12 m et sa hauteur totale qui devait avoisiner les 45 m.
En
1115 existait à Meximieux un prieuré, établissement à la
fois monastique et agricole, dépendant de l'abbaye d'Ambronay,
situé au lieu dit "la maison Bosone" appelée de
nos jours Maison du Fouilloux.
Son église dédiée
à Saint Jean baptiste dressait sa
silhouette romane sur le mollard de St Jean au sud ouest de la
ville entourée par le cimetière.
Dés
1309, une chartre de franchise en fit une ville franche et
libre.
Le
commerce et les relations humaines purent s'y développer
jusqu'à nos jours où toutes les ressources commerciales de
qualité peuvent s'y trouver.
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Jumelée
avec la ville allemande de Denkendorf |
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